12 octobre 2012
Boulevard de la Paix, début de l’exposition :
« Reims 1850-2020, image d’une évolution urbaine »
Grace à notre collectif ReimsAvant,
cette exposition patrimoniale plus qu’immobilière permet de retrouver, sur les murs fraichement repeints en bleu de l’enceinte encore debout de l’ex-caserne,
de nombreuses cartes postales anciennes et photos comparatives « avant/maintenant ».
Merci à tous les partenaires de ce projet de mémoire urbaine qui rassemble un site associatif de photographies en ligne, une exposition ouverte à tous les passants, une fouille archéologique, une opération urbaine et immobilière…
Un petit livre pocket de 112 pages reproduisant toutes les photographies de l’exposition sur le mur d’enceinte a été édité à l’occasion de cette inauguration :
Et revoir, ci-dessous, l’article qu’avait réalisé Emmanuel-Marie Sallé pour ReimsAvant
Construite à partir de 1853 par l’architecte Narcisse Brunette à la place de la tour des Trois-Museaux (anciens remparts), la caserne Colbert fut la première grande caserne de Reims.
La caserne Colbert, boulevard Cérès (maintenant boulevard de la Paix), abritait l’état-major et une partie du 132e RI de 1873 à 1914, le dépôt commun du 132e RI, du 332e RI et du 46e régiment d’infanterie territoriale.
La caserne a été détruite pendant la Première Guerre mondiale et reconstruite.
Jusqu’en 1992 se trouvait au quartier Colbert la fanfare du 1er groupe de chasseurs (situé lui, boulevard Pommery dans la caserne « Jeanne d’Arc »)et le bureau mobilisation du bataillon dérivé (Réserve) : le 41e groupe de chasseurs (Dissous tous les deux et le bureau d’engagement de la Légion Etrangère qui devrait rester sur le site ?)
Promise à une destruction certaine, la caserne Colbert sera prochainement préservée et intégrée à un vaste projet de réhabilitation du site, sous l’égide de l’actuelle municipalité rémoise, en collaboration avec l’association de défense La Tour des Trois-Museaux.
(Sources Wikipedia).
Telle qu’elle est restée pendant des années.
Pendant un certain temps, la place de garde a servi à l’accueil des élèves du Lycée Libergier pendant les travaux de réhabilitation du Lycée de la rue Libergier logés dans des abris de chantier de type « Algeco » (pas sur de l’orthographe).
Le futur projet (© Cab. Jacquet) :
Merci pour vos infos très intéressantes.
Bonjour, mes grands-parents maternels vécurent à Reims, épiciers "comptoirs français", avant de partir en région parisienne. Mon grand-père y fut…
Merci beaucoup pour votre commentaire fort intéressant, je vais l'ajouter au texte de l'article, en votre nom, bien sûr !
D'après ce qu'on m'avait expliqué étant petit, le Petit-Betheny est issu de l'installation de famille alsacienne ou mosellanes arrivées après…
W désigne surement la société (Henri) Walbaum, transporteur, déménageur et garde-meuble.