En savoir plus sur la Porte du Chapitre sur notre site « La documentation de ReimsAvant »
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Aucune ville ne semble se prêter mieux à cette démarche comparative «passé-présent» ou «avant-maintenant» que Reims : en effet, la métropole gallo-romaine de toute la Belgica et du baptême de Clovis et la «Ville des Sacres» des rois de France est devenue à partir de 1914, la «Ville Martyre» presque entièrement détruite par les bombardements de la Première Guerre Mondiale.
Les photographies anciennes et leurs vis-à-vis contemporains permettent de découvrir l’évolution de la ville depuis plus d'une centaine d’années
Merci pour vos infos très intéressantes.
Bonjour, mes grands-parents maternels vécurent à Reims, épiciers "comptoirs français", avant de partir en région parisienne. Mon grand-père y fut…
Merci beaucoup pour votre commentaire fort intéressant, je vais l'ajouter au texte de l'article, en votre nom, bien sûr !
D'après ce qu'on m'avait expliqué étant petit, le Petit-Betheny est issu de l'installation de famille alsacienne ou mosellanes arrivées après…
W désigne surement la société (Henri) Walbaum, transporteur, déménageur et garde-meuble.
« ReimsAvant » est une association loi de 1901 créée en mars 2012. Elle est déclarée sous le numéro W513003202 - n° Siret : 79921608000017
Encore une fois je redis que l’on devrait nettoyer cette « porte » Renaissance, qui est toute crasseuse. D’ailleurs, sauf à me tromper, ce témoignage du passé est classé MH. Peut-être que si l’on mettait le logo, ça inciterait à redonner encore plus de beauté à cette porte, qui reste méconnue doublement. Mais en général on s’en fiche. C’est comme la statuaire de Notre-Dame : on restaure, on nettoie – oui là on nettoie ! – ce qui est visible (la façade occidentale ou une partie – petite partie – de l’abside) mais ce qui se trouve au nord figure largement au programme des abonnés absents ! Je signale tout particulièrement une statue d’évêque (?) au bas gauche de la voussure qui surplombe saint sixte prétendument ! Encore un peu de temps de dégradation et il ne restera plus que la tête – ce qui, avouons-le, n’est guère enviable, même pour une statue ! Quoique les révolutionnaires d’antan ont agi inversement en décapitant de nombreuses petites statues, dont on peut admirer au Palais du Tau la finesse pour celles (les têtes) qui ont pu être sauvegardées hier et avant-hier !